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recrutement - Page 45

  • Muriel Darmon et Christine Détrez, Corps et société

    fdc309bd06a2e1c25c4ebe5eefb5d74f.jpgJamais sans doute notre corps, le corps en général, n’a été autant célébré, sollicité, mis en avant, accessoirisé que dans nos sociétés contemporaines. En apparence, il semble que nous soyons libérés des normes, des cadres moraux... Le corps sert aujourd’hui de support identitaire à des individus soucieux de leur image et de leur singularité (c’est ce que désigne la mode des piercings, des scarifications, des tatouages, etc.). De façon générale, et voir même symptomatique, nous parlons d’un droit de disposer de notre corps (et ce à tous les stades de la vie).
    Cependant, Muriel Darmon et Christine Détrez nous montrent qu’il ne faut pas nous bercer de cette illusion. A l’aide d’études sociologiques, de tableaux, d’analyse des rapports publics, etc. Elles mettent en évidence que les usages du corps continuent d’obéir à des normes socioculturelles. Or qui parle de corps, parle de nourriture ! Même si notre rapport à l’alimentation n’est pas le cœur de cet ouvrage, il est une des trames notamment dans les passages sur l’analyse de l’apparence physique. Notre corps reste à jamais le synonyme d’inégalités, voire de discriminations. Enfin il est l’objet même des préoccupations pour les pouvoirs publics, qui cherchent à l’encadrer.

    Muriel Darmon et Christine Détrez, Corps et société, éd. La Documentation Française, coll. "problèmes politiques et sociaux", 2004, 120 pages. 9€

  • A table !

    41ed709803651a14bd19b989196108d5.gifPour les vingt-cinq ans de leur maison, les éditions Métailié se mettent à table ! Voici un recueil autour des plaisirs liés à la gastronomie, à la cuisine, à l’art de la faire comme à celui de la manger. Littérature et nourriture entretiendraient-elles des relations si étroites ?
    Festins de mots, festins des cuisines livrés par quarante-deux auteurs différents. Nous avons ainsi droit à quelques curiosités comme Le flan au citron de Jean-Baptiste Baronian ou le texte un petit verre de porto de Rosa Lobato de Faria. Pascal Dibie se joue d’un menu simple pour énergumènes dans lequel son dessert n’est autre qu’une religieuse au caramel. Emerveillés, nous goûtons aux recettes anciennes, aux délivrances gustatives, aux joies des repas partagés entre amis, aux festins amoureux. De poissons, en vin rouge, de cigare en tarte, nous dénouons le fil d’une littérature bien nourrie.

    A table ! recueil de textes d’écrivains, éd. Métailié, 2004, 372 pages. 21€

  • Michel Onfray, le ventre des philosophes

    c44a2bec490c03290cee0b78d831e34f.jpgD’où provient notre chère pensée si ce n’est du ventre ? Mais quels liens entretiennent les philosophes avec leur propre ventre ? Ils pensent certes mais pensent-ils à manger ?
    Partant du constat que, le plus souvent, s’ils pensent les philosophes oublient de penser à leur corps et surtout à ce qu’ils y accumulent lorsqu’ils mangent, Michel Onfray nous montre qu’il existe un réseau complexe d’affinités et d’aveux que la réflexion aurait tort de négliger. Diogène aurait-il été cet adversaire de la civilisation et de ses usages sans son goût pour le poulpe cru ? Le Rousseau du Contrat social aurait-il fait l’apologie de la frugalité si ses menus ordinaires ne s’étaient composés que de laitages ? Sartre lui-même, dont les cauchemars sont emplis de crabes, n’a-t-il pas, sa vie durant, payé – dans l’ordre de la théorie – son aversion pour les crustacés ?
    Dans cet essai, Michel Onfray choisit de redonner une dignité philosophique au cabillaud, au potage à l’orge, au vin, à l’andouillette, aux figues, au café qui sont les voies improbables d’un gai savoir. Cette critique de la raison diététique se veut être une ébauche d’une «diététique ».

    Michel Onfray, le ventre des philosophes, critique de la raison diététique, éd. Grasset, coll. "le livre de poche, biblio essai", 1994, 178 pages. 6.15€

  • Les Six conseils pour être repéré par un chasseur de tête

    0c5a0159ca6f8428ddb646470a50cdfb.jpg Il existe désormais une large littérature concernant les Ressources Humaines, les méthodes de recrutement. Vous pouvez même trouver les guides qui classent les cabinets de recrutement. Et à dire vrai, on trouve de tout et beaucoup de n'importe quoi sur le web. Cependant l'Apec a rédigé une synthèse des plus intéressante qui donne les six fondamentaux. Quelles sont donc ces six stratégies gagnantes ? Celles qui donnent accès à la visibilité pour les chasseurs ?

    1. Devenez un people !

    Etre dans les annuaires d'écoles bien sûr, mais aussi prendre la parole, se faire connaître, par exemple en participant à des associations ou à des conférences.
    963013d891310c6e22d48e3c5d1e33f3.jpg2. Google et moi.
    Qui n'a pas fait cet exercice dangereux pour son ego de "googleiser" son nom et son prénom ?... Attention aux déceptions et aux mauvaises surprises.
    3. Bienvenue dans la CVthèque.
    Déposer son CV dans les candidathèques online est devenu un passage obligé, c'est vrai.
    4. Autre incontournable : les sites de réseaux professionnels.
    Incontournable on vous dit.
    5. Apprivoisez les médias.
    Bon, là, ça demande un savoir-faire de Communicant, mais oui, être cité dans la presse est un efficace bon point.
    6. Vos efforts ont payé, vous voilà contacté.
    C'est le moment d'instaurer une bonne relation avec le recruteur, pour le poste pour lequel il vous contacte... ou pour d'autres.

    Enfin nous pourrions ajouter que vous pouvez aussi contacter directement les cabinets de recrutement, il s'agit de professionnels qui sauront étudier votre dossier avec toute la confidentialité requise."