Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

News - Page 17

  • Grandes écoles : les jeunes diplômés moins bien payés

    La Conférence des grandes écoles a publié récemment son étude annuelle sur l’insertion des jeunes diplômés. Elle évoque une baisse de 15% des rémunérations moyennes depuis 2000.

     ajconseilrecrutementrh-argent-fotolia.jpg

    C’est l’effet de la crise sur les jeunes sortant des grandes écoles : les rémunérations de début de carrière ont nettement reculé en euros constants, note la Conférence des grandes écoles (CGE) dans son étude annuelle sur l’insertion des diplômés publiée ce mardi (voir document ci-dessous). L’association, qui regroupe plus de 200 grandes écoles, évoque une baisse de 15 % des rémunérations moyennes (hors primes) des managers entre 2000 et 2013, et de 11 % pour les ingénieurs. « L’ajout des primes ne permet pas de retrouver le niveau ‘‘hors primes’’ de 2000, indique l’étude. Les 35.771 euros perçus en 2013 en moyenne en France, en incluant les primes, ne correspondent qu’à une rémunération de 28.504 euros constants de 2000, bien inférieurs aux 30.000 euros sans les primes que percevaient les diplômés cette année-là. »

    La loi de l’offre et de la demande

    Pourquoi ce repli ? Pour le nouveau président de la CGE, cette baisse s’explique par la loi de l’offre et de la demande. La demande d’ingénieurs notamment est « décroissante » dans les secteurs industriels et marchands en France, ce qui entraîne « mécaniquement une décroissance des salaires », souligne Philippe Jamet. Une baisse des salaires très habilement présentée, selon le directeur général d’HEC Paris, Bernard Ramanantsoa : « On demande au jeune de ne pas être trop gourmand et on lui propose le même salaire que celui obtenu l’année précédente par l’étudiant diplômé de la même école, en lui expliquant que ‘‘c’est la crise’’. »

    Les entreprises « jouent à l’intérieur de la marge d’inflation pour que personne n’ait l’impression de voir le salaire diminuer », abonde le directeur de l’Ecole supérieure de chimie, physique et électronique de Lyon (CPE Lyon), Gérard Pignault.

    Y a-t-il trop de diplômés ?

    Cette baisse de rémunération pose, selon la CGE, la question du nombre idéal de diplômés. Y a-t-il trop de diplômés des grandes écoles, compte tenu de l’offre d’emploi disponible en France ? La CGE n’y répond pas directement. Mais la question est essentielle, pour le directeur de l’Ecole Centrale Paris, Hervé Biausser. En évoquant l’objectif du gouvernement de faire en sorte que 50 % d’une classe d’âge soit diplômée du supérieur en 2020, Hervé Biausser s’interroge : « D’un côté, si on a un diplôme, on a plus de chances d’avoir un emploi. Mais, comme il n’y a pas assez d’emplois pour le nombre de diplômés, une vraie question se pose. Il faut des créateurs d’emplois et des start up. Et il faut aussi dire, à l’horizon de dix ans, quel est le volume, la proportion d’emplois et les secteurs dans lesquels la France souhaite proposer des emplois à ses diplômés. » Un appel du pied très clair en direction du gouvernement.

    Pour les jeunes diplômés des grandes écoles, la crise se mesure aussi à l’aune du taux net d’emploi, qui baisse à 81,5 % pour les diplômés sortis il y a moins d’un an (promotions 2012), contre 85 % l’année précédente. « On a une légère baisse, mais pas de panique », tempère Bernard Ramanantsoa. Le taux de contrats à durée indéterminée (CDI) chute aussi à 76 %, contre 80 % il y a un an. «  Compte tenu des fermetures d’entreprises, des licenciements et des PME en grave difficulté, la résistance de notre modèle est une très bonne nouvelle », relativise Hervé Biausser.

    *Photo : Fotolia

    Journal Les Echos Marie-Christine Corbier

  • Prix Culinaire Prosper Montagné 2014

    Joël Robuchon (M.O.F et lauréat de notre  concours en 1969) a donné son accord pour présider le jury du concours 2014 à Carcassonne.maisondequaliteclubgastroprosper.gif

    Il traverse le monde entier. Pour autant, il reste fidèle à ses « premiers amours » ! Joël Robuchon présidera en effet le Prix Culinaire Prosper Montagné 2014. Un prix que le chef multi étoilé connait bien puisqu’il l’a remporté en 1969. C’est d’ailleurs pour cette raison que le comité de sélection du concours  (Christophe Moisand et Denis Rippa) a décidé de mettre  comme plat principal celui qui était le thème du concours de 1969. Exceptionnellement, la finale se déroulera, le 27 janvier 2014, à Carcassonne, ville natale de Prosper Montagné, où Joël Robuchon avait inauguré en 1994 une plaque à la mémoire de Prosper Montagné.

    Thème du concours 2014

    I-Entrée pour 8 personnes

    Aspics individuels au(x) poisson (s) d’eau douce (interprétation libre)

    Les aspics seront présentés sur 8 assiettes fournies par le comité d’organisation. L’utilisation du caviar, du foie gras et de la truffe n’est pas autorisée.

    II-Plat principal pour 8 personnes

    Un brochet de 2.5 à 3 kg servi entier et farci. Le brochet sera présenté sur un plat rectangulaire 60 x 45 fourni par le comité d’organisation. L’habillage du poisson, la farce et le montage sont à réaliser sur place. L’utilisation d’écrevisses est obligatoire accompagné:

    ● d’une première garniture à base d’oseille et/ou d’épinards,

    ● d’une seconde garniture libre réalisée à l’aide des produits de saison;

    Les deux premières garnitures individuelles sont à dresser sur le plat de présentation pour accompagner le brochet.

    ● d’une troisième, (à partir d’un brocher entier «supplémentaire» de 1.5 kg environ) sera:

    8 quenelles de brochet, d’après une recette «Lyonnaise», nappées de sauce, (impérativement servies à part, le dressage des quenelles est à la convenance du candidat).

    ● d’une sauce en accord avec le brochet (hors beurre blanc et dérivés).

    Une saucière vous sera fournie par le comité d’organisation. L’utilisation du caviar, du foie gras et de la truffe n’est pas autorisée.

     

  • Joli "ace" pour l'hôtellerie parisienne de l'Ouest

    Selon les chiffres publiés par MKG Hospitality, la quinzaine des Internationaux de France de tennis a plutôt été concluante d’un point de vue hôtelier. Plus de 400 000 visiteurs, 212 joueurs, 320 arbitres et 250 ramasseurs de balles se sont rendus dans l’Ouest parisien.

     raquette.png
    Pendant ces quinze jours du tournoi de Roland-Garros, l’hôtellerie située dans l’Ouest parisien aurait en effet gagné près de deux points de taux d’occupation, par rapport à la manifestation de l’an dernier. Un taux qui atteint un niveau au-delà des 90% en moyenne. Parallèlement, les prix moyens ont eux aussi progressé de plus de 6%, ce qui a permis au revenu par chambre disponible de s’améliorer de 8,4%, toutes catégories confondues.
    « S’il est excessif d’attribuer tout le surcroît d’activité à la seule venue des joueurs, officiels et médias qui ont suivi le tournoi, les Internationaux de France de Roland Garros ont permis aux hôteliers parisiens de bien terminer le mois de mai et d’entamer juin sur une tendance positive », assure Georges Panayotis, Président de MKG Hospitality. Dans son étude, MKG révèle toutefois l’importance et l’urgence d’un renouvellement des infrastructures du site de Roland-Garros qui, couplé à une attitude commerciale peu respectueuse dans et à l’extérieur de l’enceinte, ne laisse pas toujours de très bons souvenirs aux spectateurs.

     

     

  • Signé au Lyonnais

    Alain Ducasse, gascon d'origine, vient de publier un ouvrage superbe et étonnant dédié à la cuisine lyonnaise. La préface est signée du célèbre : Paul Bocuse. A déguster de toute urgence...

    lyon, cuisine, cuisinier, saveurs, Ducasse, Bocuse, Livre, ouvrage, culinaire, quenelle, brochet, saucisson

    Vous aimez la cuisine lyonnaise ? Vous allez être servi ! Non par un chef lyonnais, mais par un pur gascon de souche : Alain Ducasse. Le cuisinier mondialement reconnu nous dévoile les secrets  d’une cuisine lyonnaise traditionnelle, sans complexe, conviviale et savoureuse... Feuilletez ce bel ouvrage et les quenelles de brochet, le saucisson brioché, la cervelle de canut, la tarte et île flottante aux pralines roses n'auront plus jamais de secret pour vous. 
    Illustré de superbes photos réalisées dans l'ambiance chaleureuse du restaurant, ce livre est un concentré de gourmandise  où toutes les recettes sont expliquées avec simplicité... Vous y apprendrez aussi bien à cuisiner l'omble chevalier meunière que la Saint-Jacques en coquilles à la lyonnaise... avant de vous offrir en dessert des bugnes ou une crèpe soufflée à l'orange ! Cerise sur le gâteau : la préface est signée par le pape de la cuisine française et lyonnaise : Paul Bocuse !