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travail - Page 4

  • A quoi ressemblera le travail demain ?

    Des livres sur les Ressources Humaines se ramassent à la pelle ! Celui-ci sort du lot. Raison pour laquelle d'ailleurs, l'Association Nationale des Directeurs des Ressources Humaines (ANDRH) dont est membre le cabinet AJ Conseil, lui a décerné son stylo d'or 2013. A lire au plus vite !Lecture, RH

    Internet change la vie donne ! La relation entre salariés, la manière de manager, le profil des managers ... Tout y passe. Qu'on le veuille ou non, la relation au travail ne sera plus jamais ce qu'elle a été par le passé. Reste à découvrir à quoi ressemblera le travail de demain ? Les auteurs de cet ouvrage, Sandra Enlart et Olivier Charbonnier quelques éléments de réponse fort intéressants.

    Découvrez ci-dessous des extraits de l'ouvrage ...Feuilletage.pdf

    *Photo : Thibaud Viotte

  • Le taux d'absentéisme des salariés progresse en France

    16,6 jours ! En 2012, le taux d'absentéisme des salariés tend à progresser. Les services n'échappent pas à ce mouvement haussier.

    L'étude du cabinet Alma Consulting Group (réalisée entre mars et mai 2013 auprès de 323 entreprises privées regroupant 315.801 salariés) est sacrément instructive. Elle révèle en effet que le BTP (2,81 % d'absentéisme) et l'industrie (3,77 % ), ont un absentéisme paradoxalement bien moins élevé que la banque (5,56 % ). Mais autre grande nouveauté de l'étude : la montée en puissance du secteur des services, dont le taux d'absence était de 5,46 % en 2012, contre 3,32 % en 2011. Au final, tous secteurs confondus, les salariés se sont absentés 16,6 jours durant l'année 2012, soit 2,6 jours supplémentaires par rapport à 2011. Cette hausse est d'autant plus surprenante que le chiffre était en baisse les trois années précédentes. Les plus de 50 ans ont le taux le plus élevé (7,58 % ), soit 27,7 jours d'absence en moyenne sur l'année. Un chiffre qui s'explique par des absences généralement de longue durée pour certains salariés malades. À l'inverse, les salariés de moins de 30 ans enregistrent un absentéisme pour maladie fréquent mais de courte durée

    Plus d'absents dans les grands groupes

    A noter que les groupes de plus de 1.000 salariés, jusque-là relativement épargnés par l'absentéisme, sont eux aussi touchés (leur taux est passé de 3,70 % à 4,66 % en une année). « Ce n'est pas la taille de l'entreprise, mais bien la taille du collectif de travail qui a un impact sur la mobilisation des collaborateurs. Il est important d'intégrer cette dimension dans les grandes organisations », explique Yannick Jarlaud, directeur du département santé et sécurité d'Alma Consulting Group.

     

    Même si il est difficile à évaluer le coût de l'absentéisme, vu l'importance des coûts indirects, la situation pèse lourd du côté des employeurs. Selon les calculs du cabinet Alma, le coût minimum (complément de salaire employeur plus coût de remplacement) s'élèverait à 7 milliards d'euros pour les entreprises privées. A cela  s'ajoutent 8,77 milliards d'euros d'indemnités journalières versées par la branche maladie-ATPM.

     

     

     

     

  • Second de Cuisine Table Présidentielle - 616/AML

     

    La cuisine, c’est votre passion. Sublimer les produits frais, c’est votre ambition. Passez à l’action envoyez votre CV à candidature@ajconseil.fr

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    Rémunération brute annuelle : 30 K€/32 K€ selon profil. Mutuelle, RTT, Primes… Journée continue du lundi au vendredi. Contrat : CDI.
    Région : Ile-de-France. Secteur : Restauration collective


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    Entreprise

     

    Société de restauration collective de dimension internationale, recherche pour une table présidentielle un Second de Cuisine. Vous évoluerez dans une entreprise où l’activité restauration s’articule autour de :
    *Table du président (environ 10 couverts /jour) ;
    *4 salons ;
    *Partie événementielle ;

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    Votre mission

     

    Vous avez un rôle de cuisinant, de gestionnaire et de représentant qualité. Vous évoluerez en binôme avec un chef de cuisine. Parmi les missions qui vous incombent, figurent :
    * Gestion : en collaboration avec le chef, imaginer, créer, proposer des menus ; établir les fiches techniques correspondantes ; veiller au respect de la ration alimentaire ; effectuer une prestation culinaire à partir de produits frais ;
    * Hygiène et sécurité : Contrôle et respect des normes HACCP ;

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    Votre profil

     

    H/F, CONFIRME (e) en tant que Chef de partie ou second de cuisine, ayant eu une expérience reconnue dans des maisons étoilées 1/2*.
    Les atouts pour briguer ce poste : une cuisine d'émotion fine et goûteuse, être à l’aise aussi bien sur le salé et le sucré. « Faire plaisir » est essentiel.
    Un grand sens de l’organisation, la créativité, le goût du travail bien fait sont des qualités indispensables.
    Enfin, vous disposez d'une aisance relationnelle certaine.


     

     

     

     

  • CDD de courte durée : majoration de la cotisation chômage

     

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    Conformément à la loi de sécurisation de l’emploi, les partenaires sociaux ont décidé d’augmenter le taux de la cotisation d’assurance chômage patronale en cas de recours à des CDD de courte durée. Cette augmentation prend effet à compter du 1er juillet 2013.

    Article des Echos

    Actuellement, le taux global de la cotisation d'assurance chômage est fixé à 6,40 %, dont 2,40 % à la charge des salariés et 4 % des employeurs. Comme la loi de sécurisation de l'emploi leur en donne la possibilité, les partenaires sociaux ont décidé de majorer la part patronale de cette cotisation, à compter du 1er juillet 2013, pour toute embauche d'un salarié par le biais d'un CDD de très courte durée. En guise de compensation, une exonération de la cotisation chômage patronale est prévue pour l'embauche de jeunes en CDI.

    Majoration pour les CDD de 3 mois ou moins

    La cotisation chômage patronale sera ainsi fixée à :
    7 % pour les CDD d'une durée inférieure ou égale à 1 mois ;
    - 5,5 % pour les CDD d'une durée supérieure à 1 mois et inférieure ou égale à 3 mois;

    Et dans certains secteurs particuliers (hôtellerie-restauration, déménagement…), elle sera portée à 4,5 % pour tout recours à un CDD d'usage d'une durée inférieure ou égale à 3 mois.

    Cette majoration ne vaudra cependant pas pour certaines catégories de contrat (notamment CDD de remplacement ou CDD saisonniers) ou encore si le salarié en CDD est finalement embauché en contrat à durée indéterminée.

    Précision : dans cette dernière hypothèse, un remboursement de la part de cotisation chômage majorée déjà versée à l'Urssaf pourrait être effectué sur présentation de certains justificatifs d'embauche en CDI. Des précisions administratives sont attendues sur ce point.
     
    Exonération pour l'embauche d'un jeune en CDI

    Par ailleurs, les employeurs qui embauchent en CDI un jeune de moins de 26 ans pourront bénéficier d'une exonération temporaire de la part patronale de la cotisation chômage. Cette exonération sera possible pendant 3 mois pour les entreprises d'au moins 50 salariés et pendant 4 mois pour les entreprises de moins de 50 salariés. Mais attention, elle ne vaudra que si le CDI se poursuit au-delà de la période d'essai.

    En pratique : l'employeur pourra demander à bénéficier de cette exonération le premier jour du mois qui suit le terme de la période d'essai du jeune embauché en CDI, dès lors qu'est constatée sa présence dans l'effectif de l'entreprise à cette date.