Louvre Hotels Group, numéro 8 de l'hôtellerie mondiale, mène tambour battant son expansion. Il a ouvert 39 hôtels (5 200 chambres) en France et à l’étranger au cours du premier semestre 2012. La société table sur 76 nouveaux établissements (7.416 chambres) d'ici la fin de l'année.

Propriétaire de l’Américain Starwood Capital Group, Louvre Hotels roule « pied » au plancher ! Au cours des 6 premiers mois 2012, le groupe a essaimé dans 5 nouveaux pays dont : la Russie, l’Algérie, la Lituanie, l’Autriche et la Géorgie. Les  projets d’hôtels dans ces territoires s’échelonneront entre 2012 et 2013 et s'effectueront principalement sous l’enseigne « Golden Tulip ». L’Inde figure également parmi les cibles prioritaires de la société où elle compte d’ores et déjà 12 établissements « Golden Tulip ». Au pays de Gandhi, le groupe entend augmenter son parc de 5 à 10 unités par an au cours des 5 prochaines années. Il a d’ores et déjà conclu la signature de 4 nouvelles adresses et inaugurera le 1er maillon de la marque « Royal Tulip » à Mumbaï, cet été. De belles perspectives s’annoncent également dans ce même pays pour son enseigne 2 étoiles, « Campanile ». Tout comme d’ailleurs dans l’Empire du Milieu. Louvre Hotels a du reste tout récemment conclu un partenariat avec l’un des  leaders du tourisme chinois, Jin Jiang Inn Co. Cet accord porte sur l’implantation d’hôtels « Campanile » au sein des grandes métropoles chinoises.

L’Europe toujours en ligne de mire

Louvre Hotels Group élargit certes ses horizons mais n’en oublie pas pour autant le Vieux Continent. Il annonce ainsi une croissance soutenue de « Première Classe », notamment en Allemagne. Objectif : 35 hôtels supplémentaires dans les principales villes du pays (Berlin, Munich et Francfort) d’ici 5 ans. Le groupe poursuit aussi son tour de France. Une dizaine de projets sont en cours dans les principales villes de France telles Troyes,  Mulhouse… Des constructions ont été identifiées à Marseille et à Montpellier. Une recherche active est également menée sur Lille, Nantes et Toulouse.

Jérôme Roy, jeune chef talentueux, qui officiait au restaurant « Colette by Pierre Gagnaire » à l’Hôtel Sezz de Saint Tropez, rejoint le Relais & châteaux le Couvent des Minimes (*****) à Mane en Provence. Sans quitter le soleil méridional, c’est au coeur des oliviers centenaires, dans la Provence de Giono, qu’il dirige depuis le 11 juin 2012 «Le Cloître » le restaurant du Relais & Châteaux, un lieu sublime, véritable havre de paix.

C’est en 2007 que Jérôme Roy rejoint Pierre Gagnaire aux « Airelles » à Courchevel. Un an après, Pierre Gagnaire lui confie l’ouverture de son restaurant à l’Hôtel Lotte de Séoul. Ce tourangeau de 35 ans, a fait ses classes auprès des plus grands chefs que ce soit aux côtés de Thierry Marx à Cordeillan Bages et de Michel Troisgros à Roanne.

Son credo, laissé le produit s’exprimer avec juste ce qu’il faut de créativité pour créer l’émotion. Adepte d’une gastronomie légère et raffinée, aux accents méditerranéens, Jérôme Roy manie avec justesse parfums et saveurs, dans un 

total respect des produits locaux dont il sait préserver l’authenticité.

Pour donner libre cours à son talent et valoriser ses mets, Jérôme Roy trouve dans le potager du Couvent des Minimes un choix d’herbes associant goût et tradition. La nature est depuis toujours présente au Couvent des Minimes. De Louis Feuillée, botaniste de Louis XIV, qui y fit ses études aux Soeurs Franciscaines qui cultivaient avec passion arbres fruitiers et vignes, les jardins en terrasse ont conservé, aujourd’hui encore, toute leur beauté.

Au Relais & Châteaux Le Couvent des Minimes Hôtel & Spa, dans cet ancien couvent du 17ème siècle, Jérôme Roy officie aux cuisines du restaurant « Le Cloître » et de son ravissant patio où, en été, il est agréable de déguster des mets inventifs aux accents du sud.

Dès le 1er juillet , Lucien Barrière Hôtels et Casinos ont lancé le premier concours culinaire organisé par un Groupe d’hôtels et de casinos français sur facebook : le Cook Master Barrière. 

Le principe ? Poster sa meilleure recette de dessert sur la Fan Page des Hôtels Barrière, entre le 1er juillet et le 31 août 2012. 3 finalistes auront alors la chance de venir défendre leur dessert dans les cuisines du Fouquet’s, à Paris, devant un jury composé d’experts et de Chefs du Groupe. Le gagnant verra sa recette inscrite à la carte du Fouquet’s et des restaurants Barrière. 

Dès cet automne, le meilleur dessert sera à la carte des restaurants des Hôtels Barrière, et au Fouquet’s. L’heureux digital cuistot savourera quant à lui sa victoire dans l’Hôtel Barrière de son choix, le temps d’un week-end, et d’un délicat dîner gastronomique.

Qui sera le prochain toqué 2.0 de la pâtisserie ?

Calendrier

1er juillet au 31 août : Début du concours. Envoi des recettes par les candidats 

3 au 14 septembre : Sélection de 2 lauréats par Lucien Barrière Hôtels et Casinos et le 3ième par vote des fans 

17 septembre : Annonce sur Facebook des trois lauréats finaux 

Lundi 24 septembre : Finale à la brasserie Fouquet’s 

1er octobre : Diffusion de la vidéo de la finale sur Facebook


A propos du centenaire de Lucien Barrière Hôtels et Casinos

L’entreprise familiale, fondée en 1912 par François André et développée successivement par Lucien Barrière, Diane Barrière-Desseigne et Dominique Desseigne a traversé les époques pour devenir le leader français des casinos et une référence dans l’hôtellerie de luxe.

En un siècle, Lucien Barrière Hôtels et Casinos est devenu : 
• le leader sur le marché des casinos, avec 39 casinos en Europe et près de 34% de parts de marché en France; 
• un acteur majeur de l’hôtellerie de luxe, avec 17 hôtels dont 10 hôtels 5*, et de la restauration avec plus de 130 bars et restaurants (dont deux étoilés); 
• un spécialiste reconnu du divertissement avec près de 3000 spectacles et animations par an; 
• un acteur du poker en ligne avec son site BarrierePoker.fr.

A quelques jours de la Grande Conférence Sociale, Michel Sapin, Ministre du Travail, s’est exprimé lors des Assises de l’ANDRH, dont le cabinet de recrutement AJ Conseil est membre. Une intervention qui donne le ton de la grand-messe prévue les 9 et 10 juillet. Résumé…

« Compétitivité, diversité, dialogue social : ce sont des bons sujets ! » Dès l’ouverture des Assises de l’ANDRH (le 29 juin à l’Hôtel Westin Paris-Vendôme), le nouveau Ministre du Travail, Michel Sapin, a affiché l’intérêt qu’il porte aux travaux menés par les 5 000 adhérents de l’association. Mieux : après avoir souligné l’importance du capital humain dans l’entreprise, il a souhaité que l’ANDRH soit associée aux projets du gouvernement. « Je forme le vœu que nous travaillons ensemble afin que nous parvenions à contenir le plus possible la progression du chômage, pour demain, inverser cette courbe. Les solutions sont autant chez vous, dans vos entreprises, que dans mon administration… », a-t-il déclaré en substance.

Contrat de Génération

Une proposition plutôt bien appréciée par les participants. D’autant que Michel Sapin a profité de son intervention pour présenter quelques grandes lignes directrices de la Grande Conférence Sociale, à travers 7 tables rondes thématiques : l’emploi des jeunes ; la formation et le développement des compétences ; les salaires, le pouvoir d’achat, le Smic ; l’égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, etc.

Ainsi, le Ministre a-t-il appuyé son discours sur la solidarité entre les jeunes et les seniors avec notamment la mise en avant du Contrat de Génération. «Hors de question de faire une usine à gaz ! Il s’agit de faire quelque chose de simple et de lisible », a expliqué Michel Sapin. Et d’ajouter, « la mobilisation pour l’emploi des jeunes passera aussi par les emplois d’avenir. »

Dialogue social

Il a, par ailleurs, évoqué son désir d’intervenir sur l’insertion professionnelle des travailleurs handicapés, source de diversité au sein des entreprises. « Plutôt que d’aller vers un renforcement immédiat des sanctions pour les sociétés qui ne respectent pas leurs obligations, je préfèrerais que les partenaires sociaux se mobilisent pour développer, par la négociation collective, l’insertion des handicapés», a expliqué Michel Sapin.

Prônant le dialogue social, le Ministre du Travail a insisté sur la nécessité de rétablir un climat de « confiance » à tous les niveaux : entre le gouvernement et les partenaires sociaux, l’Etat et les entreprises, entre le pouvoir politique et les citoyens, et entre les entreprises et leurs salariés. «Le dialogue social, ce n’est pas un feu de paille. C’est la méthode du gouvernement qui continuera tout au long du quinquennat ! Celle qui fera entrer notre pays dans une nouvelle ère de vie sociale », a exposé Michel Sapin.

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