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  • La Minute RH d'AJ Conseil Recrutement & RH

    Un chef d’entreprise est un être humain comme un autre. Des erreurs, il en commet ! Savoir les reconnaître le grandira auprès de ses équipes.RH, AJ Conseil Recrutement & RH, Management

    Rares sont les patrons à avouer publiquement qu’ils se sont trompés. Mauvais recrutement, information mal diffusée, chiffres erronés, document non corrigé … une erreur est pourtant vite arrivée. Cela est d’autant plus vrai pour un chef d’entreprise que nombre de décisions doivent parfois être prises dans l’urgence. Aucun manager n’échappe véritablement à la règle du célèbre adage : « Errare humanum est ! » Mais, comment faire pour que les « fautes » ou « bévues » professionnelles nuisent le moins possible à l’image de marque du dirigeant auprès de ses collaborateurs ?

    Miser sur la sincérité

    Tout dépend bien sûr de l’importance de l’erreur… Une donnée erronée, le tir peut être très vite corrigé… Si par contre l’erreur porte sur l’attitude ou la réputation d’un des collègues, alors les choses se corsent. Qui plus si le manager a fait une remontrance à l’intéressé aux yeux et aux vues de tous. Dans ce cas, ne cherchez pas de prétexte plus ou moins vraisemblables pour vous justifier ! Vous devez d’abord analyser l’erreur, la comprendre et l’expliquer le plus simplement possible. La sincérité demeure l’une des meilleures façons d’assumer ses responsabilités et de conserver intacte sa crédibilité. Une équipe respecte d’autant plus son patron qu’il a joué franc-jeu. Et puis comme le dit si bien Oscar Wilde : « l’expérience, c’est le nom que chacun donne à ses erreurs. »

     

     

  • Mise en place du compte personnel de prévention de la pénibilité

    Les décrets instaurant le compte pénibilité dans les entreprises à partir du 1er janvier 2015 ont été récemment publiés au Journal Officiel. Mieux vaut le savoir ...

    Quatre facteurs ouvriront des droits à une formation, à une compensation salariale ou à unrh, pénibilité, travail, emploi départ anticipé à la retraite :

    • travail répétitif
    • travail de nuit
    •  travail en équipes successives alternant
    • travail en milieu hyperbare

     Six facteurs supplémentaires entreront en vigueur un an plus tard, le 1er janvier 2016 :

    • le port de charges lourdes
    • les postures pénibles
    • les vibrations mécaniques
    • le bruit
    • les températures extrêmes
    • les agents chimiques dangereux

    Un autre décret détermine les modalités d’acquisition de points dans le cadre du compte personnel de prévention de la pénibilité.

    Un salarié pourra acquérir 10 points en deux ans et demi et plus rapidement s'il est exposé à plusieurs facteurs. Ces 10 points donneront droit, au choix : au financement de 250 heures de formation ; à la compensation salariale d'un trimestre à mi-temps ou à un trimestre de retraite pour partir plus tôt.

    Les salariés exposés pendant une année complète à un seul de ces facteurs obtiennent 4 points et ceux exposés à plusieurs facteurs 8 points.

    Les salariés dont le contrat commence ou se termine pendant l’année civile obtiennent, par trimestre, 1 point en cas d’exposition à un seul facteur ou 2 points face à plusieurs facteurs.

    Le compte pénibilité est plafonné à 100 points sur l’ensemble de la carrière.

     

     

     

     

  • La Minute RH d'AJ Conseil Recrutement & RH

    La Convention collective des CHR évolue. A l’issue de la commission mixte paritaire du 29 septembre dernier, deux avenants de la CCN (convention collective nationale) des CHR ont été modifiés.social, rh, recrutement, CHR

    • L’avenant n° 19, relatif à l’aménagement du temps de travail

    Le nouveau texte est applicable immédiatement dans les entreprises de la branche CHR adhérentes aux syndicats patronaux signataires à savoir le Synhorcat, la Fagiht et la CPIH.

    Il permet à l’employeur de faire fluctuer la durée du travail d’un salarié en fonction des besoins de l’entreprise, sur une période de référence qui peut être :

    - l’année civile ;
    - l’exercice comptable ;
    - la durée du contrat de travail à durée déterminée d’un saisonnier ;
    - la durée d’ouverture de l’entreprise saisonnière ;

    Concrètement, pendant les périodes de fortes activités, les salariés pourront travailler jusqu’à 48 heures par semaine. Les jours travaillés et les horaires prévisionnels doivent bien entendu être communiqués aux salariés au moins 15 jours à l’avance, en principe.

    Les périodes de forte activité seront compensées par une modulation de la durée du travail durant les périodes moins fortes.

    • L’avenant n° 20 relatif aux salaries

    Les nouveaux minima conventionnels sont les suivants :

     

    Niveau I

    Niveau II

    Niveau III

    Niveau IV

    Niveau V

    Echelon 1

    9,63€

    9,86€

    10,43€

    10,95€

    12,95€

    Echelon 2

    9,66€

    10,02€

    10,49€

    11,12€

    15,05€

    Echelon 3

    9,72€

    10,40€

    10,79€

     

    20,63€

    *Ces nouveaux taux horaires sont applicables à compter du 1er novembre 2014.

     

  • La Minute RH d'AJ Conseil Recrutement & RH

    L'Assurance chômage créé les droits rechargeables. Le principe est simple : plus une personne travaille, plus elle a des droits à l’Assurance chômage. Avec les droits rechargeables, tout demandeur d’emploi qui retravaille voit sa durée d’indemnisation allongée. Cette mesure entre en application à partir du 1er octobre 2014.

    Toute période travaillée par un demandeur d’emploi avant l’épuisement de ses allocations allonge la durée de ses droits à l’Assurance chômage, si la perte de cet emploi n’est pas volontaire.RH, chomâge, social

    Une des conditions : avoir travaillé au moins 150 heures sur l’ensemble de sa période d’indemnisation. Ces 150 heures peuvent être effectuées en plusieurs périodes d’emploi, quelle que soit la durée de ces emplois (y compris des emplois de quelques jours) et le type de contrat de travail (CDI, CDD, intérim).

    Rechargement des droits : une fois tous les droits initiaux du demandeur d’emploi utilisés, et seulement à ce moment là, il va être effectué un « rechargement » des droits qu’il a acquis en travaillant pendant la période d’indemnisation, à partir de 150 heures de travail. Ce rechargement lui ouvre de nouveaux droits, c’est-à-dire une allocation d’un nouveau montant pour une nouvelle durée qui sera calculée sur la base des activités reprises.

    Au final, le demandeur d’emploi voit sa durée d’indemnisation allongée.

    A noter :

    • En cas de reprise d’activité, le demandeur d’emploi doit produire les attestations destinées à Pôle emploi justifiant de ses périodes d’activités.
    • Le rechargement des droits est possible, que le salarié reste inscrit ou pas à Pôle emploi en cas de reprise d’activité.

    Pour les demandeurs d’emploi qui sont en cours d’indemnisation, les périodes travaillées avant le 1er octobre pourront être ainsi prises en compte pour le rechargement de droits.

    Pour les demandeurs d’emploi qui ont épuisé leur droit à indemnisation avant cette date, ils devront remplir à nouveau les conditions d’ouverture de droits, notamment en ayant travaillé au moins 610 heures ou 122 jours au cours des 28 derniers mois.