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News - Page 24

  • Revenue Manager

    #Emploi #Hôtellerie Vous aimez les nouvelles technologies, les chiffres et avez l’esprit d’équipe : voici un #poste de revenue manager à votre mesure !

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    loupeok75.jpgNotre client, propriétaire d’un gros porteur 4 étoiles, restaurants, spa, de renommée internationale, recherche un Revenue Manager. Votre rôle consiste à contribuer au bon remplissage de l’établissement dans le respect de la grille tarifaire établie. Le tout en optimisant le prix moyen chambre.

    Rémunération brute annuelle : 40 K€/42 K€ sur 12 mois. Primes sur objectifs de fin d’année
    Région : Ile-de-France
    Secteur : Hôtellerie Contrat : CDI. Avantages : Mutuelle + avantages groupe après 3 mois d’ancienneté

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    Contactez : Julia Rousseau à jrousseau@ajconseil.fr

     

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    Vos missions
    - Alerter le Directeur Général dès que le marché dévie de la stratégie, travailler en étroite collaboration avec la Direction Commerciale, définir la gestion journalière du yield,
    - Optimisation du RevPar et du RevPAC global de l’hôtel,
    - Effectuer des rapports d’activité auprès de la direction générale, de la direction commerciale et des directeurs de chaque établissement,
    - Analyser la performance de l’hôtel dans son marché,
    - Mettre en œuvre des process efficaces pour optimiser le chiffre d'affaires selon les stratégies hôtel, marque et pays, veiller à l’application de la stratégie tarifaire définie par le groupe, optimiser le chiffre d’affaires général généré en jouant sur les prix et le taux d’occupation,
    - Collecter des données de réservation fiables sur lesquelles seront bâties la stratégie et les prévisions de l’hôtel,
    - Mettre à jour les plannings de vente et établir les devis groupes,
    - Etre source de recommandations quotidiennes, notamment par la tenue de réunions régulières sur l’optimisation du revenu,
    - Surveiller les tarifs de la concurrence,

    Profil recherché
    De formation supérieure, avec une expérience similaire de 3/5 ans dans le secteur de l’hôtellerie 3/4*, vous maîtrisez les outils informatiques, internet et le E-Business.
    Doté de bonnes capacités d’anal
    yse à l’aise avec les résultats chiffrés et les prévisionnels, vous aimez le travail d’équipe.
    Méthodique, observateur, curieux, vous saurez décider, tranchez et
    Vous possédez également une aisance de communication qui vous permettra de former efficacement les équipes, afin de les accompagner dans l’augmentation des performances des hôtels.

    Les qualités
    - Esprit d’analyse, goût pour les chiffres et les nouvelles technologies,

    - Capacités de concentration, méthodique, observateur, curieux, organisé et précis,
    - Prise d’initiative, sens des priorités, flexible, créatif, persévérant, rigoureux.
    - Anglais courant indispensable

     



  • Sirha : guide du parfait visiteur selon AJ Consei

     

    Du 26 au 30 janvier 2013 se déroule « le » Sirha, à Lyon. Rien ne sert de courir…

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    Avant le salon, tu te prépareras :

     

    • Lisez les articles concernant le salon et visiter le site web (www.sirha.com) pour enregistrer clairement : dates, horaires, tarifs, plan du salon, programme, noms des exposants…
    • Fixez des objectifs réalisables
    • Fixez des RDV avec les prospects et clients identifiés et présents sur le salon
    • Listez les évènements auxquels vous voulez participer afin de bien gérer votre temps
    • Communiquez sur votre présence au salon (via les réseaux sociaux notamment) au salon auprès de vos contacts et prospects
    • Munissez-vous de plaquettes commerciales et autres cartes de visite en nombre suffisant
    • Préparez votre estomac car vous dégusterez des plats exceptionnels. Et à l’exceptionnel, nul ne résiste…

     

    Le jour « J » :

     

    • Prenez votre planning de visites
    • Equipez-vous d’un sac à dos (c’est ce qu’il y a de plus pratique) si vous avez prévu de ramener de la documentation
    • N’oubliez pas votre appareil photo pour immortaliser vos rencontres
    • Rechargez votre téléphone mobile
    • Prévoyez un tube d’aspirine et des pansements pour les éventuelles ampoules
    • Un petit carnet pour prendre des notes peut-être utile ou mieux encore tweetez si vous êtes membre de Twitter !

     

     

    La visite :

     

     

    • Trouvez le guide du salon
    • Entre la foule, les stands et les gens toujours plus pressés que vous, mieux vaut gardez votre calme
    • Respectez votre planning
    • Distribuez vos documents commerciaux et cartes de visite à bon escient
    • Demandez au « modèle » la permission pour le prendre en photo. La relation est aussitôt plus sympathique.
    • Appelez les 2 membres de l’équipe d’AJ Conseil présents sur le salon pour les rencontrer : Alain Jacob et Julia Rousseau
    • Habillez-vous « sport » chic et pas trop chaud !

     

     

    Après le salon :

     

    • Une fois le salon achevé, exploitez tous les contacts récoltés
    • N’oubliez pas de relancer les rendez-vous ratés
    • Dressez un bilan de votre visite
    • Diffusez sur les réseaux sociaux vos trouvailles

     

     

    Bonne découverte et surtout bon appétit !!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Accord sur l'emploi : les 10 principales mesures à retenir

     

    L'accord du 11 janvier 2013 conclu entre le patronat (Medef, CGPME et UPA) et certaines organisations syndicales (CFDT, CFTC et CFE-CGC) liste de nombreuses mesures. Certaines sont plutôt favorables aux entreprises, d'autres aux salariés. Plusieurs sont anecdotiques, quelques-unes pourraient avoir de lourdes conséquences. Elles touchent, en tout cas, différents aspects du droit du travail. Voici les principaux points à retenir.

     

    *Article de Fabien Renou publié sur le JDN

     

     

    Les CDD surtaxés

     

    Les contrats à durée déterminée (CDD) de plus de 3 mois sont surtaxés. Cette majoration, programmée au 1er juillet 2013, relève le taux de cotisation à l'assurance chômage. Ce taux, établi normalement à 4%, est porté à 7% sur les CDD inférieurs à un mois et à 5,5% s'ils durent entre 1 et 3 mois. Les CDD d'usage de moins de 3 mois propres à certains secteurs (enseignement, sport...) voient leur taux légèrement augmenter à 4,5%. Epargnés par cette mesure, les contrats saisonniers, les CDD de remplacement et les contrats d'intérim restent soumis au taux habituel de cotisations. Parallèlement, l'embauche d'un jeune de moins de 26 ans en CDI ouvre droit à une exonération complète de cotisations chômage sur cet emploi.

     

     

     

    Les complémentaires santé généralisées

     

    Tous les salariés, en particulier dans les petites entreprises, ne bénéficient pas d'une couverture complémentaire des frais de santé. Des situations qui doivent disparaitre à compter du 1er janvier 2016. A cette date, les entreprises devront avoir mis en application l'accord de branche qui les concerne, qui lui doit être négocié au plus tard le 1er juillet 2014. Ces accords de branches n'imposent pas d'organisme (assureur ou mutuelle) mais peuvent en recommander certains. Le panier de soins minimum pris en compte par les complémentaires inclut, selon les termes de l'accord, "100% de la base de remboursement des consultations, les actes techniques et pharmacie en ville et à l'hôpital, le forfait journalier hospitalier, 125% de la base de remboursement des prothèses dentaires et un forfait optique de 100 euros par an".

     

     

     

    Le licenciement économique chamboulé

    Les partenaires sociaux souhaitent limiter les risques juridiques issus des plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) lors d'une procédure de licenciement économique de 10 salariés et plus. Deux procédures sont désormais possibles. D'abord, l'accord collectif majoritaire, signé par un ou plusieurs syndicats ayant recueilli 50% des voix lors des dernières élections professionnelles. Cet accord peut déroger aux règles du Code du travail et peut être contesté dans un délai de trois mois. L'autre procédure, l'homologation, permet à l'entreprise de faire valider, après consultation du comité d'entreprise, une procédure par l'administration, en l'occurrence la Direccte, qui ne dispose pour répondre que de 2 à 4 mois (en fonction de l'ampleur des licenciements). Là encore, la contestation de l'homologation doit être formulée sous 3 mois. Ce délai passe à un an dans le cas où cette contestation porte sur le motif du licenciement ou sur le non-respect du plan social.

     

     

     

    Des droits rechargeables aux allocations chômages institués

     

    L'idée de ce dispositif est simple : un salarié au chômage qui reprend un emploi ne perd pas les droits aux allocations qu'ils avait acquis mais pas utilisés. S'il retrouve un emploi et se retrouve à nouveau licencié, il peut toucher à nouveau les allocations auxquelles il avait droit précédemment.

     

     

     

    Les accords de maintien dans l'emploi encadrés

     

    Pour éviter que l'emploi ne soit la seule variable d'une entreprise en difficultés, le cadre est désormais fixé pour conclure un accord portant sur la durée du travail et la rémunération. Cet accord porte sur une durée maximale de deux ans et doit avoir été signé par une ou plusieurs organisations syndicales majoritaires. Un salarié peut parfaitement refuser individuellement les changements intervenus à l'occasion de cet accord (baisse de salaire ou augmentation du temps de travail) mais il s'expose alors à un licenciement économique dont le motif ne peut être contesté.

     

     

     

    Les temps partiels limités

     

    L'accord du 11 janvier prévoit que les salariés à temps partiel ne peuvent travailler moins de 24 heures par semaine, au plus tard au 31 décembre 2013. Exceptions notables : les salariés travaillant pour des particuliers ainsi que les étudiants. Des accords de branche peuvent aussi prévoir des dérogations. Enfin, les salariés qui en font la demande écrite et motivée pourront signer un contrat de travail de moins de 24 heures.

     

     

     

    Des conseils d'administration ouverts aux salariés

     

    Les grandes entreprises qui comptent plus de 10 000 salariés dans le monde ou 5 000 en France devront faire une place d'ici 26 mois aux salariés dans leur organe de gouvernance, conseil d'administration ou conseil de surveillance. Si cet organe compte plus de douze membres, deux salariés y feront leur entrée, un seul dans les autres cas. La procédure de désignation de ces représentants des salariés avec droits de vote doit être validée en assemblée générale.

     

     

     

    Une période de mobilité autorisée

     

    Un salarié en poste qui trouve un emploi ailleurs a désormais la possibilité de quitter son entreprise le temps d'une "période de mobilité volontaire sécurisée". Au terme de cette phase et si le job lui plait, il rompt son contrat de travail jusque-là simplement suspendu, sinon il peut revenir dans son ancienne entreprise. Seul hic, mais de taille : ce dispositif, réservé aux salariés affichant deux ans d'ancienneté dans une entreprise de plus de 300 salariés, nécessite l'accord de l'employeur.

     

     

     

    La portabilité des droits à la formation renforcée

     

    Tout au long de sa vie, un salarié bénéficie d'un compte personnel de formation, dont le crédit est intégralement transférable d'un employeur à l'autre. Il reprend les principes déjà en vigueur du droit individuel à la formation (Dif) : 20 heures de droit à la formation par an avec un plafond à 120 heures. Mais contrairement au dispositif précédent, ces heures ne sont plus monétisés lorsqu'elles sont transférées d'un employeur à l'autre, mais demeure sous la forme de crédit d'heures.

     

     

     

    La mobilité interne assouplie

     

    Lorsqu'une entreprise initie une réorganisation interne, elle peut désormais s'affranchir d'un plan social et simplement lancer une négociation interne sur les conditions de la mobilité, qu'elle soit professionnelle ou géographique. Si, dans ce cadre, un salarié refuse ce changement, il risque un licenciement pour motif personnel et non pas un licenciement économique.

  • Offre d'emploi à saisir : Directeur commercial (H/F) pour Groupe de Restauration

     Directeur commercial (H/F) - 563/JR

    Rémunération brute annuelle : 75 K€/80 K€
    Région : Ile-de-France. Poste basé au siège de la s
    loupe-AJC.jpgociété avec desdéplacements fréquents sur sites
     Secteur : Restauration commerciale

    Contrat : CDI - Statut cadre - véhicule de fonction

    Envoyer vos CV et/ou contactez:

    Julia Rousseau au 01 53 95 26 94 - jrousseau@ajconseil.fr

     

    Entreprise

    Groupe de restauration opérant dans le milieu de la restauration commerciale et de l'évènementiel, recrute son Directeur Commercial (H/F) en Ile-de-France.
    Rattaché(e) à la Direction Générale, vous êtes en charge de définir, animer, appliquer et faire respecter la stratégie commerciale de l'entreprise.

    Vos missions consistent à :

    - proposer une politique tarifaire ;

    - identifier les cibles commerciales pertinentes ;

    - diriger et animer la force de vente dans le cadre du développement du    Chiffre d'Affaires ;


    Profil recherché

    Bon communicant, vous encadrez votre équipe commerciale avec pédagogie pour mieux la fédérer. Doté d'une bonne résistance au stress, vous êtes notamment capable de fournir les résultats attendus sur le court et moyen terme.
    Les techniques de vente et la négociation n'ont pas de secrets pour vous.
    La maîtrise de l’anglais vous permet d'assurer les négociations avec les groupes touristiques étrangers.

    *Dans le cadre de l'exclusivité de ce recrutement, votre candidature sera traitée en toute confidentialité.