Rémunération brute annuelle : 46 K€ à 48 K€
Région : Bretagne
Secteur : Hôtellerie
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Groupe hôtelier breton, recherche, dans le cadre de l'ouverture d'un nouvel hôtel classé 4 étoiles et qui proposera une cuisine du monde, un CHEF DE CUISINE.
Rattaché au Directeur de l’établissement, le Chef de cuisine aura pour principales missions :
Mise en place du département de cuisine avant l’ouverture de l’établissement :
- Définition de l’orientation et création de la carte
- Recrutement de l’ensemble de l’équipes
- Mise en place des normes HACCP - Identification et sélection des fournisseurs, mise en place des achats
- Mise en place d’outils de gestion en cuisne (ratios, coûts de revient des plats proposés à la cartes, frais de personnel au quotidien, fiches techniques….)
Gestion du département cuisine après l'ouverture :
- Gérer l’équipe en place, veiller à un bon climat social, assurer la gestion des plannings, plannifer l’organisation du travail, gérer l’intégration des nouveaux embauchés, veiller aux bonnes relations avec les autres services
- Effectuer un travail de recherche dans le cadre de la création de nouveaux plats
- Suivre les achats et s’assurer de la bonne gestion des stocks
- Analyser les ventes et maintenir une qualité de prestation constante et optimale
- Suivre les indicateurs gestion, analyser les résultats et les écarts observés, veiller au maintien d’une bonne rentabilité
- Faire respecter les règles d’hygiène et de sécurité, ainsi que le règlement intérieur
Homme ou femme, vous bénéficiez d’une expérience réussie de minimum 5 ans dans une fonction de chef de cuisine au sein d’un établissement haut de gamme.
Vous êtes ouvert et avez un goût prononcé pour les cuisines exotiques, asiatiques et indiennes.
Vous êtes reconnu pour votre créativité, votre leadership et votre souci du détail et du travail bien fait.
Avant tout, nous recherchons une personne de terrain qui saura se montrer disponible, créer une bonne cohésion d’équipe au sein de sa brigade.
Vous devez également posséder des compétences en banqueting et évènementiel.
Termes du contrat :
CDI avec une période d’essai de 4 mois renouvelable 3 mois.
Statut cadre
Salaire attractif déterminé en fonction du candidat sélectionné
Hélène Darroze, chef du restaurant "Hélène Darroze" (deux étoiles Michelin) à Paris (VIe), va diriger les cuisines de l'hôtel de luxe londonien The Connaught à partir de juin, a annoncé mercredi un porte-parole de la chef dans un communiqué.
C’est à la fin de l’année 2009 que l’Unesco doit décider de l’inscription sur deux listes spéciales des fleurons du patrimoine culturel immatériel de l’Humanité, et juger si la gastronomie française mérite d’y figurer, comme le souhaite le président Nicolas Sarkozy. Pour l’heure, aucune gastronomie n’a été proclamée comme "chef d’oeuvre" immatériel par l’Unesco. L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture a déjà établi une liste de 90 de ces "chefs d’oeuvre" répartis dans 70 pays. Parmi eux figurent ainsi le carnaval d’Oruro en Bolivie, les dessins sur le sable du Vanuatu, le théâtre Nogaku au Japon, le patrimoine oral du Guélédé (Bénin, Nigeria et Togo) ou le théâtre sicilien de marionnettes de l’Opera dei Pupi.
L’Unesco va établir deux listes du patrimoine immatériel, un peu sur le système des listes du patrimoine mondial, qui comprennent désormais pour leur part près de 900 sites naturels et culturels. Il s’agit d’une liste représentative et une autre réservées aux éléments nécessitant une sauvegarde d’urgence, cette dernière pouvant bénéficier de fonds spéciaux. Le patrimoine immatériel, parfois menacé de dégradation ou de disparition, regroupe des pratiques, des connaissances ou des savoir-faire reconnus par des groupes ou des communautés comme faisant partie de leur patrimoine culturel.
Les candidatures seront examinées en mai 2009 par un organe du comité intergouvernemental sur le patrimoine immatériel de l’Unesco. En septembre 2009, le comité procèdera à l’évaluation des candidatures et décidera des inscriptions. Pour pouvoir faire acte de candidature, l’Etat soumissionnaire devra montrer que l’élément qu’il propose obéit à cinq conditions, et notamment qu’il entre bien dans le cadre du patrimoine immatériel, défini par une convention en 2003, qui englobe notamment les "pratiques sociales, rituels et événements festifs" et les "savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel". Pour l’Unesco, "l’inscription de l’élément contribuera à assurer la visibilité, la prise de conscience de l’importance du patrimoine culturel immatériel et le dialogue, reflétant ainsi la diversité culturelle du monde entier et témoignant de la créativité humaine".