Accor, premier opérateur hôtelier mondial avec 170 000 collaborateurs et plus de 3600 hôtels, publie aujourd’hui les résultats de son concours Take Off!. Cinq cent étudiants issus de 68 universités, écoles de commerce ou de management hôtelier du monde entier ont participé à cette compétition organisée par le Groupe entre le 2 avril et le 18 juin 2014. Objectif de cette 3^ème édition : concevoir un service mobile original susceptible de bouleverser les usages de l’industrie hôtelière et l’expérience clients.

Communiqué de presse

L’équipe gagnante est issue de l’école hôtelière de Vatel en Thaïlande. Les trois étudiants, Nakorn Sirinuntananon, Rudeerus Apinuntano et Pitchaya Mepattana, ont imaginé une application tout-en-un qui s’adapterait à tous les hôtels. Depuis son téléphone portable, le client pourrait ainsi contrôler les objets connectés de sa chambre, commander auprès du room service ou organiser son séjour sur place.

Ce challenge s’inscrit dans la stratégie de transformation digitale opérée par Accor. Il incarne également l’ambition du Groupe, en tant que 1ère école hôtelière, d’encourager et stimuler la créativité des étudiants sur des problématiques hôtelières exigeantes et concrètes, mais aussi la volonté d’identifier un vivier de jeunes talents pour accompagner le développement de Accor dans le monde.

DÉROULÉ DES ÉPREUVES : CHAQUE ÉQUIPE EST COMPOSÉE DE TROIS ÉTUDIANTS

• Round 1 : du 2 au 29 avril

-132 équipes présentent leur projet en ligne, à travers un photomontage

-  17 équipes sont sélectionnées

• Round 2 : du 8 au 21 mai

-  17 équipes montent une vidéo en ligne, illustrant leur application.

-    5 équipes finalistes sont sélectionnées

• Round 3 : le 17 et 18 juin

-  Les candidats finalistes présentent leur projet monté avec le support de Kony, leader de la plate-forme de développement d’applications mobiles.

PROJETS DES 4 AUTRES ÉQUIPES FINALISTES 

-Hoteliers Now : équipe issue de  Les Roches International School of Hotel Management  en Suisse qui a proposé une application utilisant la technologie des Google Glass afin de faciliter le quotidien des employés et délivrer un service optimisé aux clients.

-PriceIt : issus du Centro Superior de Hosteleria de Galicia en Espagne les finalistes ont conçu une application permettant aux clients de choisir leur hôtel en fonction du prix qu’ils seraient prêt à payer pour une chambre au sein de l’un de nos établissements en intermarques.

-Qwacé : issus du Queenstown Resort College of Hospitality en Nouvelle-Zélande, les étudiants ont créé un assistant personnel sur mobile délivrant un service entièrement personnalisé aux clients.

-The Palma Group : issus de Wavecrest College of Hospitality au Nigéria, cette équipe a créé une application mobile dédiée à la communication et à la formation des employés Accor du monde entier.

Pour en savoir plus : www.accortakeoff.com

Arnaud MONTEBOURG, Ministre de l’Économie, du Redressement productif et du Numérique, engage une action contentieuse contre le groupe Booking afin de mettre fin aux déséquilibres constatés dans les relations entre les centrales de réservation de prestations hôtelières du groupe et les établissements hôteliers.

Le 13 novembre dernier, à la suite d’une enquête de la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), le gouvernement annonçait l’assignation en justice du groupe Expedia dont les contrats comportaient des clauses entravant significativement la liberté commerciale et tarifaire des hôtels. Les services de la DGCCRF ayant mis en évidence l’existence de clauses similaires dans les contrats du groupe Booking, les sociétés du groupe viennent d’être assignées à comparaître devant le Tribunal de commerce de Paris par le Ministre de l’Economie. Les clauses figurant dans les contrats de Booking interdisent notamment aux hôteliers de proposer directement aux consommateurs des tarifs plus attractifs que ceux qu’il propose sur son site.

En l’espèce, cette clause dite de « parité tarifaire » empêche les hôteliers de consentir des réductions aux clients qui les contactent directement. Les hôteliers perdent ainsi une opportunité de concurrencer Booking et de reprendre le contrôle de la relation avec le client. Cela nuit à la fois à la compétitivité du secteur hôtelier, qui est privé d’une possibilité de s’affranchir des commissions versées à Booking, et aux consommateurs, qui ne peuvent pas faire jouer la concurrence entre les différents canaux de distribution et obtenir ainsi de meilleurs tarifs. Affaire à suivre …

*Communiqué : Orientations

L'ESPOL (Ecole Européenne de Sciences Politiques et Sociales) innove en matière de pédagogie, en proposant depuis la rentrée un cours original de gastronomie et politique, qui rencontre un certain succès auprès des étudiants.

L’Ecole Européenne de Sciences Politiques et Sociales (ESPOL) propose une formation quelque peu atypique. L’établissement a en effet décidé d’intégrer, dans son programme de formation de licence, un cours de gastronomie et politique. Un enseignement original, unique en France, et particulièrement convoité par les élèves curieux de connaître les enjeux de la gastronomie dans le contexte politique international.

Approche originale des sciences politiques

Ce cours d’un nouveau genre propose ainsi une approche originale de l’étude des sciences politiques. On y apprend notamment à quel point la gastronomie est importante pour comprendre un pays et sa culture. Un des objectifs est également d’initier les étudiants au fait que la gastronomie est un réel instrument de contact avec des hommes politiques. "Comme le disait Machiavel : 'Tout n’est pas politique, mais la politique s’intéresse à tout'. Ce type de cours permet de montrer aux étudiants qu’on peut faire de la science politique autour d’objets très différents", explique Sébastien Caré, maître de conférences en sciences politiques à l'ESPOL et responsable pédagogique de la licence.

Succès auprès des étudiants

Pourtant optionnel, ce cours compte cette année 43 élèves, soit près de 70 % des étudiants de deuxième année. Un réel succès pour l'ESPOL, dont la volonté et l'ambition est d’intégrer, dans le cursus de formation, en plus des unités fondamentales (économie, droit, sciences politiques ou encore philosophie), des cours électifs liés à la culture, comme par exemple un cours de théâtre en anglais, de littérature européenne ou encore de cinéma et politique.

 L'économie, les nouvelles technologies, l'amélioration des transports ... le voyage d'affaires change de visage. Quel sera-t-il demain ? Allez en débattre !!

 

Site internet : www.comite-bougainville.com/offres/gestion/events_267_19018_non-1/jeudi-22-[...]