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  • Sirha : guide du parfait visiteur selon AJ Consei

     

    Du 26 au 30 janvier 2013 se déroule « le » Sirha, à Lyon. Rien ne sert de courir…

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    Avant le salon, tu te prépareras :

     

    • Lisez les articles concernant le salon et visiter le site web (www.sirha.com) pour enregistrer clairement : dates, horaires, tarifs, plan du salon, programme, noms des exposants…
    • Fixez des objectifs réalisables
    • Fixez des RDV avec les prospects et clients identifiés et présents sur le salon
    • Listez les évènements auxquels vous voulez participer afin de bien gérer votre temps
    • Communiquez sur votre présence au salon (via les réseaux sociaux notamment) au salon auprès de vos contacts et prospects
    • Munissez-vous de plaquettes commerciales et autres cartes de visite en nombre suffisant
    • Préparez votre estomac car vous dégusterez des plats exceptionnels. Et à l’exceptionnel, nul ne résiste…

     

    Le jour « J » :

     

    • Prenez votre planning de visites
    • Equipez-vous d’un sac à dos (c’est ce qu’il y a de plus pratique) si vous avez prévu de ramener de la documentation
    • N’oubliez pas votre appareil photo pour immortaliser vos rencontres
    • Rechargez votre téléphone mobile
    • Prévoyez un tube d’aspirine et des pansements pour les éventuelles ampoules
    • Un petit carnet pour prendre des notes peut-être utile ou mieux encore tweetez si vous êtes membre de Twitter !

     

     

    La visite :

     

     

    • Trouvez le guide du salon
    • Entre la foule, les stands et les gens toujours plus pressés que vous, mieux vaut gardez votre calme
    • Respectez votre planning
    • Distribuez vos documents commerciaux et cartes de visite à bon escient
    • Demandez au « modèle » la permission pour le prendre en photo. La relation est aussitôt plus sympathique.
    • Appelez les 2 membres de l’équipe d’AJ Conseil présents sur le salon pour les rencontrer : Alain Jacob et Julia Rousseau
    • Habillez-vous « sport » chic et pas trop chaud !

     

     

    Après le salon :

     

    • Une fois le salon achevé, exploitez tous les contacts récoltés
    • N’oubliez pas de relancer les rendez-vous ratés
    • Dressez un bilan de votre visite
    • Diffusez sur les réseaux sociaux vos trouvailles

     

     

    Bonne découverte et surtout bon appétit !!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Opportunité de carrière à saisir : directeur d'exploitation hôtel au coeur de l'Océan Indien

     

    loupeok75.jpgIl est temps de prendre le large et d’ouvrir votre horizon professionnel ! Rejoignez ce groupe à dimension humaine, spécialisé dans l’hôtellerie haut de gamme, pour participer à son développement. Où ça ? Au cœur de l’Océan Indien…
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    Rémunération brute annuelle : 48 K€/50 K€ à négocier sur 13 mois + variable.
    Secteur : Hôtellerie. Situation géographique : DOM-TOM Contrat : CDI. Statut cadre, 4 mois période d’essai éventuellement renouvelable 3 mois. Logement de fonction pour une personne seule ou en couple sans enfant.

     

    Contact : Anne-Marie Lefèvre, Consultante : Tél. 01 53 95 26 91 amlefevre@ajconseil.fr

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    Entreprise

    Cet établissement hôtelier, d'environ 150 chambres et de catégorie 3*, situé dans les Iles Françaises, recherche son nouveau Directeur d'Exploitation.
    Rattaché au Directeur Général de l’ensemble des établissements de la place, vous siègerez au comité de direction avec le DAF, le DRH, le directeur commercial et le directeur d’exploitation d'un autre établissement.
    Le Directeur d’exploitation transmet de manière régulière des rapports d’activités à son DG et informe celui-ci des situations et des problèmes critiques survenus ou existants sur son établissement.

    Missions

     

    Exploitation
    Superviser l’ensemble des activités de l’exploitation de l’hôtel, soit directement, soit par délégation (restauration, hébergement, relations clientèle, loisirs et maintenance) ;
    ● Appliquer les objectifs globaux en les déclinant au niveau des opérationnels par service ;
    ● Participer à la mise en place des PAC en collaboration avec le directeur commercial ;
    ● Analyser le marché et benchmarker la concurrence locale ;

    Vente & Gestion
    Elaborer le budget annuel, qui devra être en adéquation avec la stratégie du groupe ;
    Analyser le compte d’exploitation et indicateurs de gestion, mettre en place des actions correctives si nécessaire ;
    Superviser toutes les dépenses et contrôler les recettes ;
    ● Contrôler la gestion des flux financiers ;
    Animer les points de vente et développer le CA via une qualité de service optimum et des animations commerciales ;
    Développer et optimiser l’image de marque de l’hôtel à travers la présence sur les salons professionnels ;
    ● Veiller aux respects des standards du groupe ;

    Management
    Veiller à un climat social calme et serein ;
    ● Animer et diriger une équipe de 60 collaborateurs;
    ● Développer et évaluer les compétences des collaborateurs ;
    ● Coordonner toutes les équipes de l’hôtel et organiser le travail avec les chefs de services ;
    ● Participer aux recrutements ;

    Relations clients
    ● Veiller à la satisfaction clients ;
    ● Assurer un suivi de la clientèle VIP ;

    Hygiène et sécurité
    ● Veiller à la propreté de l’ensemble des infrastructures ;
    ● Veiller au respect des règles d’hygiène et de sécurité inhérentes à l’hôtellerie/restauration ;
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    Profil recherché

     

    H/F de terrain, vous avez une formation supérieure BAC + 2 à 5 idéalement hôtellerie/restauration, et une expérience significative de 5 à 10 ans dans une fonction de management hôtelier. Vous parlez l’anglais couramment et votre véritable plus réside dans vos compétences managériales et votre aisance relationnelle.

    ● Leadership, bon relationnel ;
    ● Faculté d’écoute, d’analyse et d’observation ;
    ● Sens de la diplomatie et du dialogue ;
    ● Créatif et dynamique ;
    Goût pour le travail en équipe ;
    ● Forte motivation et implication ;
    ● Passionné et organisé ;
    ● Compétences techniques appuyées ;
    ● Connaissances poussées dans le domaine de la gestion d’un centre de profits ;
    ● Maîtrise de l’anglais indispensable ;
    ● Deuxième langue fortement souhaitée ;

     

     

     

     

  • Poste de responsable de salle qui répondra à toutes vos attentes !

     

    Responsable de Salle H/F - 570/JR

    Vous succombez devant les sommets enneigés ou baignés de soleil. Vous souhaitez vous épanouir professionnellement dans un univers élégant. Voilà un poste qui répondra à vos attentes !


    Rémunération brute annuelle : 36 K€/38 K€loupeok75.jpg
    Région : Rhône-Alpes
    Secteur : Hôtellerie

    Contrat : CDI. Logement prévu dans un premier temps, puis aide au logement

    Contactez : Julia Rousseau, Consultante AJ Conseil : Tél. 01 53 95 26 94 - jrousseau@ajconseil.fr


    Entreprise
    Idéalement situé au pied des pistes, cet hôtel 4*, à la décoration particulièrement élégante, avec un restaurant de qualité, un spa, recherche son responsable de salle.

    Les missions
    - Assurer la satisfaction de la clientèle pendant le service,
    - Gérer les ressources humaines (recrutement, formation, intégration des nouvelles recrues, répartition du travail, élaboration des horaires, gestion des conflits…) ;
    - Participer à la gestion du restaurant (contrôle des coûts, gestion des stocks, relations fournisseurs, commandes, veiller à l’arrangement du mobilier, vaisselle, entretien des structures…) ;
    - Fixer les objectifs de votre équipe ;
    - Gérer la facturation et les contrôles de caisse ;
    - Veiller au bon fonctionnement du restaurant, à la qualité du service ;-Assurer la meilleure rentabilité pour l’établissement ;

    Profil recherché
    Vous avez 2 ans d’expérience au minimum comme Manager dans la restauration haut de gamme et/ou hôtelière.
    Vous avez une bonne maîtrise des relations avec une clientèle exigeante.  Leadership, excellente présentation, capacité de prise de décisions, réactivité vous caractérise amplement.  Anglais courant, la pratique d’une 2ème langue est un plus.

    Vos qualités
    - Très bonnes connaissances œnologiques ;
    - Goût du travail en équipe ;
    - Grand sens de l’organisation ;

    - Excellent sens du relationnel ;
    - Energique, précis et autonome ;



     

  • Accord sur l'emploi : les 10 principales mesures à retenir

     

    L'accord du 11 janvier 2013 conclu entre le patronat (Medef, CGPME et UPA) et certaines organisations syndicales (CFDT, CFTC et CFE-CGC) liste de nombreuses mesures. Certaines sont plutôt favorables aux entreprises, d'autres aux salariés. Plusieurs sont anecdotiques, quelques-unes pourraient avoir de lourdes conséquences. Elles touchent, en tout cas, différents aspects du droit du travail. Voici les principaux points à retenir.

     

    *Article de Fabien Renou publié sur le JDN

     

     

    Les CDD surtaxés

     

    Les contrats à durée déterminée (CDD) de plus de 3 mois sont surtaxés. Cette majoration, programmée au 1er juillet 2013, relève le taux de cotisation à l'assurance chômage. Ce taux, établi normalement à 4%, est porté à 7% sur les CDD inférieurs à un mois et à 5,5% s'ils durent entre 1 et 3 mois. Les CDD d'usage de moins de 3 mois propres à certains secteurs (enseignement, sport...) voient leur taux légèrement augmenter à 4,5%. Epargnés par cette mesure, les contrats saisonniers, les CDD de remplacement et les contrats d'intérim restent soumis au taux habituel de cotisations. Parallèlement, l'embauche d'un jeune de moins de 26 ans en CDI ouvre droit à une exonération complète de cotisations chômage sur cet emploi.

     

     

     

    Les complémentaires santé généralisées

     

    Tous les salariés, en particulier dans les petites entreprises, ne bénéficient pas d'une couverture complémentaire des frais de santé. Des situations qui doivent disparaitre à compter du 1er janvier 2016. A cette date, les entreprises devront avoir mis en application l'accord de branche qui les concerne, qui lui doit être négocié au plus tard le 1er juillet 2014. Ces accords de branches n'imposent pas d'organisme (assureur ou mutuelle) mais peuvent en recommander certains. Le panier de soins minimum pris en compte par les complémentaires inclut, selon les termes de l'accord, "100% de la base de remboursement des consultations, les actes techniques et pharmacie en ville et à l'hôpital, le forfait journalier hospitalier, 125% de la base de remboursement des prothèses dentaires et un forfait optique de 100 euros par an".

     

     

     

    Le licenciement économique chamboulé

    Les partenaires sociaux souhaitent limiter les risques juridiques issus des plans de sauvegarde de l'emploi (PSE) lors d'une procédure de licenciement économique de 10 salariés et plus. Deux procédures sont désormais possibles. D'abord, l'accord collectif majoritaire, signé par un ou plusieurs syndicats ayant recueilli 50% des voix lors des dernières élections professionnelles. Cet accord peut déroger aux règles du Code du travail et peut être contesté dans un délai de trois mois. L'autre procédure, l'homologation, permet à l'entreprise de faire valider, après consultation du comité d'entreprise, une procédure par l'administration, en l'occurrence la Direccte, qui ne dispose pour répondre que de 2 à 4 mois (en fonction de l'ampleur des licenciements). Là encore, la contestation de l'homologation doit être formulée sous 3 mois. Ce délai passe à un an dans le cas où cette contestation porte sur le motif du licenciement ou sur le non-respect du plan social.

     

     

     

    Des droits rechargeables aux allocations chômages institués

     

    L'idée de ce dispositif est simple : un salarié au chômage qui reprend un emploi ne perd pas les droits aux allocations qu'ils avait acquis mais pas utilisés. S'il retrouve un emploi et se retrouve à nouveau licencié, il peut toucher à nouveau les allocations auxquelles il avait droit précédemment.

     

     

     

    Les accords de maintien dans l'emploi encadrés

     

    Pour éviter que l'emploi ne soit la seule variable d'une entreprise en difficultés, le cadre est désormais fixé pour conclure un accord portant sur la durée du travail et la rémunération. Cet accord porte sur une durée maximale de deux ans et doit avoir été signé par une ou plusieurs organisations syndicales majoritaires. Un salarié peut parfaitement refuser individuellement les changements intervenus à l'occasion de cet accord (baisse de salaire ou augmentation du temps de travail) mais il s'expose alors à un licenciement économique dont le motif ne peut être contesté.

     

     

     

    Les temps partiels limités

     

    L'accord du 11 janvier prévoit que les salariés à temps partiel ne peuvent travailler moins de 24 heures par semaine, au plus tard au 31 décembre 2013. Exceptions notables : les salariés travaillant pour des particuliers ainsi que les étudiants. Des accords de branche peuvent aussi prévoir des dérogations. Enfin, les salariés qui en font la demande écrite et motivée pourront signer un contrat de travail de moins de 24 heures.

     

     

     

    Des conseils d'administration ouverts aux salariés

     

    Les grandes entreprises qui comptent plus de 10 000 salariés dans le monde ou 5 000 en France devront faire une place d'ici 26 mois aux salariés dans leur organe de gouvernance, conseil d'administration ou conseil de surveillance. Si cet organe compte plus de douze membres, deux salariés y feront leur entrée, un seul dans les autres cas. La procédure de désignation de ces représentants des salariés avec droits de vote doit être validée en assemblée générale.

     

     

     

    Une période de mobilité autorisée

     

    Un salarié en poste qui trouve un emploi ailleurs a désormais la possibilité de quitter son entreprise le temps d'une "période de mobilité volontaire sécurisée". Au terme de cette phase et si le job lui plait, il rompt son contrat de travail jusque-là simplement suspendu, sinon il peut revenir dans son ancienne entreprise. Seul hic, mais de taille : ce dispositif, réservé aux salariés affichant deux ans d'ancienneté dans une entreprise de plus de 300 salariés, nécessite l'accord de l'employeur.

     

     

     

    La portabilité des droits à la formation renforcée

     

    Tout au long de sa vie, un salarié bénéficie d'un compte personnel de formation, dont le crédit est intégralement transférable d'un employeur à l'autre. Il reprend les principes déjà en vigueur du droit individuel à la formation (Dif) : 20 heures de droit à la formation par an avec un plafond à 120 heures. Mais contrairement au dispositif précédent, ces heures ne sont plus monétisés lorsqu'elles sont transférées d'un employeur à l'autre, mais demeure sous la forme de crédit d'heures.

     

     

     

    La mobilité interne assouplie

     

    Lorsqu'une entreprise initie une réorganisation interne, elle peut désormais s'affranchir d'un plan social et simplement lancer une négociation interne sur les conditions de la mobilité, qu'elle soit professionnelle ou géographique. Si, dans ce cadre, un salarié refuse ce changement, il risque un licenciement pour motif personnel et non pas un licenciement économique.